mercredi 18 novembre 2009

Les coïncidences. Vous y croyez, vous ?

Récemment (VOIR ICI), je faisais ripaille en regardant un film pas très commun : Jonathan Livingston Seagull (Jonathan Livingston le goéland).
Et hier soir, en regardant le film L'Héritier (avec Bébel, ce héros au sourire si doux), quel bouquin ne vois-je pas posé sur le lit d'une petite fille ?
Eh oui. Je te le donne en mille Emile : le roman dont on tira le film Jonathan Livingston Seagull.
Je n'ai pas encore trouvé la moindre conclu intéressante à cette anecdote, elle-même pas franchement ébouriffante, mais à mon avis quand j'aurai trouvé ce sera profond. Je vous invite d'ailleurs à la trouver avant moi.

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5 commentaires:

  1. Marrant !
    Moi j'ai surtout enfin compris l'allusion au coup de cymbales d'un échange de commentaires récent. Comme quoi Tonton lit attentivement les comms' de ses lecteurs, et a bonne mémoire.
    (et hop, un petit cours de lèche de la lpt).

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  2. PS : oui, je crois aux coïncidences.

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  3. Eh bien moi, pas trop. Peut-être un fond de superstition qui traîne.

    Euh, merci pour la lèche, mais ma mémoire est un naufrage, à tel point que je ne comprends même pas à quoi tu fais référence. :(
    Et le coup de la cymbale non plus. Un film pas vu, sûrement.

    ... Bon, que vous écris-je ce soir ?

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  4. Ben, dans ton post avec la raquette de tennis, tu dis à Nuku : "Ravi d'apprendre que tu n'es pas sensible qu'aux coups de cymbales", et j'étais pas sûre d'avoir compris... Du coup, quand je suis allée lire celui sur Jonathan Livingston, où elle disait "Il y avait peut-être un grand coup de cymbales vers la fin. Comme dans un de mes films préférés", j'ai cru que tu parlais de ça ! Avoue que ça aurait impliqué une sacrée mémoire de ta part.
    Encore une coïncidence, tiens, cette histoire de cymbales. ;-)

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Mto La Grand Combe